Moulay, un jeune muet, décide d’arrêter ses études car il peut plus payer le prix du ticket de bus. Ses deux amis d’enfance refusent de l’abandonner. Les trois jeunes partent à la recherche de 120 dirhams pour payer les études de Moulay.
Réalisateur | Hicham Lasri / هشام العسري |
Acteurs | Mustapha Houari / مصطفى هواري, Tarik Bakhari / طارق بخاري, Hassan Ben Badida / حسن بن بديدا, Mohamed Aouragh / محمد أوراغ |
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Ce film est issu de la Film Industry, un projet pionnier en matière de cinéma de genre au Maroc, mené par Ali n' Productions en coproduction avec la SNRT et avec la participation du ministère de la Culture. Le concept : réaliser, en quatre ans, 42 films de genre en numérique haute définition, le tout dans une économie de téléfilms avec quinze jours maximum de tournage pour chacun. A la caméra, douze jeunes cinéastes et au casting, des dizaines de comédiens quasi anonymes à l'époque. Film Industry se veut aussi un réservoir de talents, qu’ils soient cadreurs, cascadeurs, costumiers, éclairagistes, décorateurs, scénaristes ou breakdanseurs, et bien sûr, comédiens, la plupart issus du théâtre amateur ou universitaire. Nombre de réalisateurs issus de la Film Industry sont devenus des metteurs en scène de cinéma et de télévision reconnus. |
L'OS DE FER
de Hicham Lasri
Moulay, un jeune muet, décide d’arrêter ses études car il peut plus payer le prix du ticket de bus. Ses deux amis d’enfance refusent de l’abandonner. Les trois jeunes partent à la recherche de 120 dirhams pour payer les études de Moulay.
A propos du film
L'os de fer de Hicham LASRI est un film qui vaut vraiment le détour ! Et quand on sait que c'est le baptême du feu de ce jeune scénariste-réalisateur l'exploit revêt une importance d'une autre dimension : l'émergence d'une nouvelle génération de cinéastes qui peuvent garantir un bel avenir au cinéma marocain. « L'os de fer » est un joli moment de cinéma qu'on conseille vivement à tous les cinéphiles.
Jeunes du Maroc, 24 décembre 2007
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Ce film est issu de la Film Industry, un projet pionnier en matière de cinéma de genre au Maroc, mené par Ali n' Productions en coproduction avec la SNRT et avec la participation du ministère de la Culture. Le concept : réaliser, en quatre ans, 42 films de genre en numérique haute définition, le tout dans une économie de téléfilms avec quinze jours maximum de tournage pour chacun. A la caméra, douze jeunes cinéastes et au casting, des dizaines de comédiens quasi anonymes à l'époque. Film Industry se veut aussi un réservoir de talents, qu’ils soient cadreurs, cascadeurs, costumiers, éclairagistes, décorateurs, scénaristes ou breakdanseurs, et bien sûr, comédiens, la plupart issus du théâtre amateur ou universitaire. Nombre de réalisateurs issus de la Film Industry sont devenus des metteurs en scène de cinéma et de télévision reconnus. |
L'OS DE FER
de Hicham Lasri
Moulay, un jeune muet, décide d’arrêter ses études car il peut plus payer le prix du ticket de bus. Ses deux amis d’enfance refusent de l’abandonner. Les trois jeunes partent à la recherche de 120 dirhams pour payer les études de Moulay.
A propos du film
L'os de fer de Hicham LASRI est un film qui vaut vraiment le détour ! Et quand on sait que c'est le baptême du feu de ce jeune scénariste-réalisateur l'exploit revêt une importance d'une autre dimension : l'émergence d'une nouvelle génération de cinéastes qui peuvent garantir un bel avenir au cinéma marocain. « L'os de fer » est un joli moment de cinéma qu'on conseille vivement à tous les cinéphiles.
Jeunes du Maroc, 24 décembre 2007
L'OS DE FER
Après 20 ans passés en prison, un prisonnier politique est libéré en plein Printemps arabe. Une équipe de télévision faisant un reportage sur les mouvements sociaux au Maroc décide de le suivre dans la recherche de son passé.
"Dans la vie, il y a deux types de personnes : ceux qui ont un rêve et ceux qui n’ont rien. Dans la première catégorie, il y a ceux qui poursuivent leurs rêves et ceux qui les abandonnent". Au beau milieu d’une fête de mariage où il officie comme chanteur, Daoud réalise qu’il n’a plus ce rêve de devenir un vrai artiste, une star. Mécontents que la musique s’arrête, les convives l’assomment avec...
Trois histoires courtes. Trois personnages qui se croisent dans un même drame. Trois fenêtres sur l’ignorance, la stigmatisation, et la solitude face au déni de la maladie du SIDA. Une fiction qui met des mots à la place de nos silences honteux.
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Un épisode douloureux de l'histoire du Maroc est révélé dans une interview avec un célèbre homme politique, sur son rôle dans l'ancien régime plein de brutalité. L'ambiguïté entoure toujours le présent et le futur du pays.
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