Une terre aride par manque d'eau dans le sud marocain. Un vieillard, un jeune, une histoire d'amitié pour retrouver l'eau. Un homme et une femme, une histoire d'amour particulière. Un lieutenant français, sa femme et des nationalistes, une confrontation pour la liberté. Un village, des gens, une vie... et la mort. Autant d'histoires qui s'imbriquent entre elles et que raconte SOIF. Soif d'amour, de liberté, d'amitié, d'eau et de vie. SOIF est une adaptation personnelle par Saâd Chraïbi du roman "Les Années des vaches noires", de l'écrivain marocain Moha El Ayd, qui est décédé durant le tournage du film.
SOIF
en VOD
de Saâd Chraïbi
Une terre aride par manque d'eau dans le sud marocain. Un vieillard, un jeune, une histoire d'amitié pour retrouver l'eau. Un homme et une femme, une histoire d'amour particulière. Un lieutenant français, sa femme et des nationalistes, une confrontation pour la liberté. Un village, des gens, une vie... et la mort. Autant d'histoires qui s'imbriquent entre elles et que raconte SOIF. Soif d'amour, de liberté, d'amitié, d'eau et de vie.
SOIF est une adaptation personnelle par Saâd Chraïbi du roman "Les Années des vaches noires", de l'écrivain marocain Moha El Ayd, qui est décédé durant le tournage du film.
Ce film est présenté dans son format original. Selon leur ancienneté, certains contenus, bien que numérisés avec les meilleures techniques disponibles, peuvent ne pas offrir un confort de visionnage optimal.
Récompenses et distinctions
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2001, Festival Vues d'Afrique de Montréal (Canada) |
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2001, Festival du film arabe de San Francisco (Etats-Unis) |
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2002, Festival national du cinéma de Marrakech (Maroc) |
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2001, Festival du film de Rabat (Maroc) |
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2002, Festival du film africain de Khouribga (Maroc) |
Festival International du film de Rotterdam (Pays-Bas), Festival du film d'amour de Mons (France), Festival du film de Galway (Irlande), Festival Alwan de New York (Etats-Unis), Festival du film méditerranéen de Cologne (Allemagne), Festival International du film de Split (Croatie), Festival International du film de Rio de Janeiro (Brésil), Festival International du film de Durban (Afrique du Sud), Festival du film africain de Copenhague (Danemark), Festival International du film de New Dehli (Inde), Festival International du film de Damas (Syrie), Festival du film méditerranéen de Montpellier (France), Festival des trois continents de Nantes (France), Festival International d'Amiens (France), Festival du film d'Ankara (Turquie), Festival du film africain de New York (Etats-Unis), Festival du film méditerranéen de Heidelberg (Allemagne), Festival du film africain de Frankfort (Allemagne), Festival International de Goeteborg (Suède), Festival International du Kerala (Inde), Festival du film arabe de Metz (France), Festival International du film de Suez (Egypte), Festival du film méditerranéen de Bruxelles (Belgique).
A propos du film
"L'auteur de Femmes… et femmes, peinture de femmes dans le Maroc d'aujourd'hui qui y avait rencontré un franc succès, situe cette fois son film à la fin de l'époque coloniale. Encore une glorification du combat contre le colonisateur pour la libération nationale ? Aucunement ! Si la lutte nationaliste est bel et bien montrée, elle improvise et fait des erreurs ! Quant au lieutenant français qui commande la petite garnison, c'est un bon bougre qui se demande ce qu'il fait là. Plus encore, sa femme photographe entretient des rapports intimes avec des Marocains. De cette ambiguïté naîtront les problèmes qui, plus que la lutte elle-même, feront l'action du film. C'est bien sûr tout l'intérêt de ce beau film de retravailler ainsi l'Histoire en privilégiant les rapports humains : il n'y a pas les bons et les méchants, il y a tout simplement des hommes et des femmes bien vivants et contradictoires qui vivent leurs désirs autant que leurs idéaux. Le moment de l'indépendance est également étonnant, montrant gardiens et prisonniers tous marocains s'embrasser, le nouvel ordre n'étant plus division mais unité. Sans tomber dans l'esthétisme, l'image épouse les couleurs sable et ocre avec une grande douceur, sans doute un peu classique mais illustrant l'amour de cette terre que l'on cherche à libérer, tandis que plusieurs fois dans le film, une respiration poétique vient illustrer le propos, en accord avec l'importance accordée à l'expression poétique en culture arabe et notamment dans le Sud marocain. C'est la même volonté émotionnelle qui fera à plusieurs reprises naître et mourir en même temps les enfants, les vieux et la société, au risque de rendre le scénario trop construit. Il n'en reste pas moins un film sensible qui confirme les talents du réalisateur."
Olivier Barlet pour Africiné, 2002
SOIF
en VOD
de Saâd Chraïbi
Une terre aride par manque d'eau dans le sud marocain. Un vieillard, un jeune, une histoire d'amitié pour retrouver l'eau. Un homme et une femme, une histoire d'amour particulière. Un lieutenant français, sa femme et des nationalistes, une confrontation pour la liberté. Un village, des gens, une vie... et la mort. Autant d'histoires qui s'imbriquent entre elles et que raconte SOIF. Soif d'amour, de liberté, d'amitié, d'eau et de vie.
SOIF est une adaptation personnelle par Saâd Chraïbi du roman "Les Années des vaches noires", de l'écrivain marocain Moha El Ayd, qui est décédé durant le tournage du film.
Ce film est présenté dans son format original. Selon leur ancienneté, certains contenus, bien que numérisés avec les meilleures techniques disponibles, peuvent ne pas offrir un confort de visionnage optimal.
Récompenses et distinctions
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2001, Festival Vues d'Afrique de Montréal (Canada) |
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2001, Festival du film arabe de San Francisco (Etats-Unis) |
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2002, Festival national du cinéma de Marrakech (Maroc) |
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2001, Festival du film de Rabat (Maroc) |
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2002, Festival du film africain de Khouribga (Maroc) |
Festival International du film de Rotterdam (Pays-Bas), Festival du film d'amour de Mons (France), Festival du film de Galway (Irlande), Festival Alwan de New York (Etats-Unis), Festival du film méditerranéen de Cologne (Allemagne), Festival International du film de Split (Croatie), Festival International du film de Rio de Janeiro (Brésil), Festival International du film de Durban (Afrique du Sud), Festival du film africain de Copenhague (Danemark), Festival International du film de New Dehli (Inde), Festival International du film de Damas (Syrie), Festival du film méditerranéen de Montpellier (France), Festival des trois continents de Nantes (France), Festival International d'Amiens (France), Festival du film d'Ankara (Turquie), Festival du film africain de New York (Etats-Unis), Festival du film méditerranéen de Heidelberg (Allemagne), Festival du film africain de Frankfort (Allemagne), Festival International de Goeteborg (Suède), Festival International du Kerala (Inde), Festival du film arabe de Metz (France), Festival International du film de Suez (Egypte), Festival du film méditerranéen de Bruxelles (Belgique).
A propos du film
"L'auteur de Femmes… et femmes, peinture de femmes dans le Maroc d'aujourd'hui qui y avait rencontré un franc succès, situe cette fois son film à la fin de l'époque coloniale. Encore une glorification du combat contre le colonisateur pour la libération nationale ? Aucunement ! Si la lutte nationaliste est bel et bien montrée, elle improvise et fait des erreurs ! Quant au lieutenant français qui commande la petite garnison, c'est un bon bougre qui se demande ce qu'il fait là. Plus encore, sa femme photographe entretient des rapports intimes avec des Marocains. De cette ambiguïté naîtront les problèmes qui, plus que la lutte elle-même, feront l'action du film. C'est bien sûr tout l'intérêt de ce beau film de retravailler ainsi l'Histoire en privilégiant les rapports humains : il n'y a pas les bons et les méchants, il y a tout simplement des hommes et des femmes bien vivants et contradictoires qui vivent leurs désirs autant que leurs idéaux. Le moment de l'indépendance est également étonnant, montrant gardiens et prisonniers tous marocains s'embrasser, le nouvel ordre n'étant plus division mais unité. Sans tomber dans l'esthétisme, l'image épouse les couleurs sable et ocre avec une grande douceur, sans doute un peu classique mais illustrant l'amour de cette terre que l'on cherche à libérer, tandis que plusieurs fois dans le film, une respiration poétique vient illustrer le propos, en accord avec l'importance accordée à l'expression poétique en culture arabe et notamment dans le Sud marocain. C'est la même volonté émotionnelle qui fera à plusieurs reprises naître et mourir en même temps les enfants, les vieux et la société, au risque de rendre le scénario trop construit. Il n'en reste pas moins un film sensible qui confirme les talents du réalisateur."
Olivier Barlet pour Africiné, 2002
SOIF
Une jeune photographe marocaine de notoriété internationale, vit à Paris. Elle sillonne le monde et organise des expositions de ses photos dans plusieurs galeries. Elle reçoit un appel du pays qu’elle avait quitté depuis dix ans à la mort de son père, pour l’informer que sa mère est malade. Elle décide de rentrer malgré elle. Son retour va être l’occasion de faire revivre son passé avec ses joi...
Jawhara, petite fille, issue d’un viol dans une prison, a grandi pendant six ans derrière les barreaux, aux côtés de sa mère. Avec son regard innocent, elle observe ce monde carcéral et raconte de sa voix juvénile l’histoire de ses parents, sa mère Safia et son présumé père, Saïd, qui formaient un jeune couple fougueux, enthousiaste et idéaliste qui s’activait avec d’autres jeunes au sein d'une...
En 1997, au Maroc, quatre femmes se battent pour prouver leur statut, leur place dans la société, chacune à sa manière…