DE SABLE ET DE FEU (Le rêve impossible !) relate, entre 1802 et 1818, l'histoire vraie et épique d'un officier de l'armée espagnole, conspirateur de génie. Missionné par l'Espagne pour renverser le Sultan marocain Moulay Slimane, Domingo Badia, sous la fausse identité d'Ali Bey, fils d'un émir de Damas, va rencontrer Lady Hester Stanhope, une aristocrate anglaise, plus connue sous le nom de Meleki, et ils vont vivre ensemble une aventure hors du commun qui bouleversera le Moyen-Orient.
DE SABLE ET DE FEU
en VOD
De Souheil Ben barka
Drame historique, Maroc, Italie, Espagne, 2019
Avec Rodolfo Sancho, Carolina Crescentini, Imanol Arias, Giancarlo Giannini, Marisa Paredes, Massimo Ghini, Christo Jivkov, Hamid Basket, Youness Benzakour, Abdelhak Belmjahed, Jamal Lababssi
DE SABLE ET DE FEU (Le rêve impossible !) relate, entre 1802 et 1818, l'histoire vraie et épique de Domingo Badia, un officier de l'armée espagnole, conspirateur de génie. Missionné par l'Espagne pour renverser le Sultan marocain Moulay Slimane sous la fausse identité d'Ali Bey, fils d'un émir de Damas, Badia va rencontrer Lady Hester Stanhope, une aristocrate anglaise. Ils vont vivre ensemble une aventure hors du commun qui bouleversera le Moyen-Orient.
DE SABLE ET DE FEU est un film d'aventures dans la tradition des épopées populaires, émaillées de rebondissements et portées par des héros intrépides. Avec Ali Bey, le spectateur est transporté à travers l'Espagne, la France, l'Angleterre, le Maroc, dans les décors fastueux des palais de Madrid, de Paris, de Londres et du Maroc en ce début du XIXème siècle. Avec Lady Hester il parcourt les déserts en feu de l'Arabie et les ruines de Palmyre. Véritable chevauchée fantastique, le film mêle le courage, amour, ambition et tragédie, tout en abordant des thèmes d'une actualité brûlante : guerres, barbarie, fanatisme religieux, remise en cause des valeurs occidentales considérées jusque-là comme le modèle universel… Grand film d'aventures, grand film historique, DE SABLE ET DE FEU est aussi un grand film d'aujourd'hui.
A propos du film :
Extraits de propos recueillis par Kaouthar Oudrhiri dans le cadre d’un entretien pour TelQuel en 2019
Dans De sable et de feu, vous dépeignez, de manière subjective, l’histoire de Domingo Badia, alias Ali Bey El Abbassi. Pourquoi ce personnage plutôt qu’un autre ?
Après avoir quitté la direction du CCM, j’ai commencé à travailler sur un film autour de la vie de Léon l’Africain. J’ai travaillé sur ce projet pendant six ans jusqu’au jour où j’ai reçu, de la part de mon coproducteur espagnol, un livre sur Ali Bey El Abbassi. Quand j’ai lu son histoire, elle ne m’a pas intéressé, car je croyais que c’était un prince abbasside accueilli au Maroc, rien de plus normal. La donne a changé plus tard, quand j’ai découvert que c’était un espion espagnol. Son histoire est exceptionnelle. C’est l’anti- espion par excellence, qui a réussi à captiver l’attention du sultan Moulay Slimane, mais aussi de la population. Il a été courageux de dénoncer l’esclavagisme, le traitement de la communauté juive… Il avait une position progressiste qui ne plaisait à personne à l’époque.
Dans le film, vous prêtez à Ali Bey El Abbassi une histoire passionnelle avec Lady Hester Stanhope, aristocrate britannique qui va parcourir le Machreq avant d’être brièvement proclamée “reine de Palmyre”. Pourtant, des sources historiques avancent que les deux personnages ne se seraient jamais rencontrés. La fiction était-elle plus éloquente que l’Histoire ?
L’histoire d’amour entre Lady Hester et Ali bey El Abbassi a bel et bien existé, j’ai toute la documentation qui le prouve. J’avais 3000 documents autour de la vie de ces deux personnages. L’Histoire peut être plus éloquente que la fiction. Ils ont vécu des choses tellement passionnantes que c’était un casse-tête d’abandonner certains passages de leur vie.
À ce propos, à un moment crucial et épique de sa vie au Maroc, Domingo Badia a décidé d’accomplir le Hajj. Périple qui lui a permis de construire un récit de voyage et des descriptions très détaillées, notamment de La Mecque. Un détail important que vous avez omis d’aborder dans le film. Avez-vous eu peur de déborder de votre intrigue ?
Pour reconstituer l’histoire de sa vie, il aurait fallu des mois et des mois de tournage. J’ai omis d’évoquer son mariage et ses enfants en Espagne, son mariage avec une nièce du sultan, son fils marocain qui, trente ans plus tard, est devenu ambassadeur du Maroc en France, sa fuite de Constantinople et j’en passe… Sinon, je ne m’en serai pas sorti.
Vous avez opté pour un doublage manifeste des voix de vos personnages. Est-ce par nostalgie du cinéma d’antan ?
C’est plutôt que je n’avais pas le choix, car je tiens à ce que les acteurs jouent dans leur propre langue, pour que leur prestation soit impeccable. Tous mes films sont ainsi.

DE SABLE ET DE FEU
en VOD
De Souheil Ben barka
Drame historique, Maroc, Italie, Espagne, 2019
Avec Rodolfo Sancho, Carolina Crescentini, Imanol Arias, Giancarlo Giannini, Marisa Paredes, Massimo Ghini, Christo Jivkov, Hamid Basket, Youness Benzakour, Abdelhak Belmjahed, Jamal Lababssi
DE SABLE ET DE FEU (Le rêve impossible !) relate, entre 1802 et 1818, l'histoire vraie et épique de Domingo Badia, un officier de l'armée espagnole, conspirateur de génie. Missionné par l'Espagne pour renverser le Sultan marocain Moulay Slimane sous la fausse identité d'Ali Bey, fils d'un émir de Damas, Badia va rencontrer Lady Hester Stanhope, une aristocrate anglaise. Ils vont vivre ensemble une aventure hors du commun qui bouleversera le Moyen-Orient.
DE SABLE ET DE FEU est un film d'aventures dans la tradition des épopées populaires, émaillées de rebondissements et portées par des héros intrépides. Avec Ali Bey, le spectateur est transporté à travers l'Espagne, la France, l'Angleterre, le Maroc, dans les décors fastueux des palais de Madrid, de Paris, de Londres et du Maroc en ce début du XIXème siècle. Avec Lady Hester il parcourt les déserts en feu de l'Arabie et les ruines de Palmyre. Véritable chevauchée fantastique, le film mêle le courage, amour, ambition et tragédie, tout en abordant des thèmes d'une actualité brûlante : guerres, barbarie, fanatisme religieux, remise en cause des valeurs occidentales considérées jusque-là comme le modèle universel… Grand film d'aventures, grand film historique, DE SABLE ET DE FEU est aussi un grand film d'aujourd'hui.
A propos du film :
Extraits de propos recueillis par Kaouthar Oudrhiri dans le cadre d’un entretien pour TelQuel en 2019
Dans De sable et de feu, vous dépeignez, de manière subjective, l’histoire de Domingo Badia, alias Ali Bey El Abbassi. Pourquoi ce personnage plutôt qu’un autre ?
Après avoir quitté la direction du CCM, j’ai commencé à travailler sur un film autour de la vie de Léon l’Africain. J’ai travaillé sur ce projet pendant six ans jusqu’au jour où j’ai reçu, de la part de mon coproducteur espagnol, un livre sur Ali Bey El Abbassi. Quand j’ai lu son histoire, elle ne m’a pas intéressé, car je croyais que c’était un prince abbasside accueilli au Maroc, rien de plus normal. La donne a changé plus tard, quand j’ai découvert que c’était un espion espagnol. Son histoire est exceptionnelle. C’est l’anti- espion par excellence, qui a réussi à captiver l’attention du sultan Moulay Slimane, mais aussi de la population. Il a été courageux de dénoncer l’esclavagisme, le traitement de la communauté juive… Il avait une position progressiste qui ne plaisait à personne à l’époque.
Dans le film, vous prêtez à Ali Bey El Abbassi une histoire passionnelle avec Lady Hester Stanhope, aristocrate britannique qui va parcourir le Machreq avant d’être brièvement proclamée “reine de Palmyre”. Pourtant, des sources historiques avancent que les deux personnages ne se seraient jamais rencontrés. La fiction était-elle plus éloquente que l’Histoire ?
L’histoire d’amour entre Lady Hester et Ali bey El Abbassi a bel et bien existé, j’ai toute la documentation qui le prouve. J’avais 3000 documents autour de la vie de ces deux personnages. L’Histoire peut être plus éloquente que la fiction. Ils ont vécu des choses tellement passionnantes que c’était un casse-tête d’abandonner certains passages de leur vie.
À ce propos, à un moment crucial et épique de sa vie au Maroc, Domingo Badia a décidé d’accomplir le Hajj. Périple qui lui a permis de construire un récit de voyage et des descriptions très détaillées, notamment de La Mecque. Un détail important que vous avez omis d’aborder dans le film. Avez-vous eu peur de déborder de votre intrigue ?
Pour reconstituer l’histoire de sa vie, il aurait fallu des mois et des mois de tournage. J’ai omis d’évoquer son mariage et ses enfants en Espagne, son mariage avec une nièce du sultan, son fils marocain qui, trente ans plus tard, est devenu ambassadeur du Maroc en France, sa fuite de Constantinople et j’en passe… Sinon, je ne m’en serai pas sorti.
Vous avez opté pour un doublage manifeste des voix de vos personnages. Est-ce par nostalgie du cinéma d’antan ?
C’est plutôt que je n’avais pas le choix, car je tiens à ce que les acteurs jouent dans leur propre langue, pour que leur prestation soit impeccable. Tous mes films sont ainsi.
DE SABLE ET DE FEU
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