Né en 1969 à Casablanca, Ali Tahiri a commencé à fréquenter les salles du cinéma dès sa tendre enfance. Le 7ème art a toujours été pour lui un monde magique et impénétrable. A l’issue de son cursus secondaire, il s’est inscrit à l’université Ben’Msik de Sidi Othmane à Casablanca où il a décroché une licence en communication en 1994. «J’étais un membre actif dans le comité d’organisation du festival universitaire de Casablanca. J’ai interprété de bons personnages au sein de la troupe de théâtre universitaire. J’avais été, en ces moments, attiré par l’art vidéo et j’ai participé à la réalisation de plusieurs films documentaires», se rappelle-t-il. A la suite de quoi, son entourage parents l’a encouragé à travailler pour devenir réalisateur. «Ce rêve a mûri pendant mes études universitaires. Moi, qui souhaitais intégrer le monde des affaires, je me voyais rêver de débarquer dans le monde du cinéma», dit-il. Ali Tahiri y est au grand bonheur des siens.
La vie de Jalal bascule le jour où il apprend que le père qu’il a pris pour modèle depuis son jeune âge n’est pas son père biologique. Il doit faire face à un passé qui remet en question ses choix de vie et l’oblige à regarder autrement le monde qui l’entoure.
La vie de Jalal bascule le jour où il apprend que le père qu’il a pris pour modèle depuis son jeune âge n’est pas son père biologique. Il doit faire face à un passé qui remet en question ses choix de vie et l’oblige à regarder autrement le monde qui l’entoure.