Né le 14 septembre 1978, Mohamed Ali El Mejboud, surnommé "Mejboudian", décide de faire du droit et part étudier à Paris à la Faculté de la Varenne Chennevières de 1998 à 2000. Puis il intègre l’École Supérieure des Études Cinématographiques (E.S.E.C.) de Paris. Il a voyagé un peu partout pour la réalisation de courts-métrages tels que "Dollaround" en 1999, "Escapade" en 2002, "Psycho" en 2003, "Papillon" et "Oeil de verre" en 2004. Dès ses premiers courts métrages, le potentiel artistique est au rendez-vous. Sa passion pour l’écriture l’a conduit à écrire des scénarios pour les plus célèbres séries télévisées marocaines. Il réalise ses deux premiers téléfims, "La vague Blanche" (en compétition films au FESPACO 2007) et "El Guerrab", conçus dans le cadre de la Film Industry / Made in Morocco et produits par Nabil Ayouch. Il crée et co-réalise avec Yassine Fennane entre 2009 et 2012, pour la chaîne Al Aoula, la série "Une heure en enfer" (5 saisons) qui rencontre un succès retentissant. Dallas (2014) est son premier long métrage de fiction.
Mustapha, fraîchement sorti de prison après avoir purgé une peine de cinq ans pour trafic de stupéfiants, et Nasser, fils de bonne famille, sont seuls sur la plage lorsqu’en pleine nuit un ballot de cocaïne est rejeté par la marée.
"Celui qui s'applique à la vengeance garde fraîches ses blessures". Dix ans ont passé depuis ce terrible jour. Il est là pour les retrouver. Un par un. Tous les cinq. Ils ont vieilli, ils ont changé mais il ne leur a pas pardonné. La mort rôde sous le costume du guerrab et ses sabres sont avides. Avides de sang et de justice sauvage.
Mustapha, fraîchement sorti de prison après avoir purgé une peine de cinq ans pour trafic de stupéfiants, et Nasser, fils de bonne famille, sont seuls sur la plage lorsqu’en pleine nuit un ballot de cocaïne est rejeté par la marée.
"Celui qui s'applique à la vengeance garde fraîches ses blessures". Dix ans ont passé depuis ce terrible jour. Il est là pour les retrouver. Un par un. Tous les cinq. Ils ont vieilli, ils ont changé mais il ne leur a pas pardonné. La mort rôde sous le costume du guerrab et ses sabres sont avides. Avides de sang et de justice sauvage.